mammifères
Souvenirs de courses
Dans cette rubrique on trouvera des souvenirs des courses qui m’ont le plus marqué, sans que ce soit forcément les plus difficiles. On pourra trouver leur qualité médiocre car ce sont des images argentiques, parfois assez vieilles, ( pour quelques-unes il s’agit même de diapos préalablement tirées sur papier …) et scannées.
Le massif du Mont-Blanc
C’est le plus célèbre massif des Alpes. Malgré les foules parfois insupportables j’ai pu y faire des courses fantastiques que je n’oublierai jamais. Malheureusement je n’ai pas de photos pour toutes.
Course extrêmement facile et même si la nuit au refuge bondé fut très désagréable j'en garde le souvenir d'une promenade exceptionnelle dans le ciel.
L'éperon nord du Chardonnet est une course mixte vraiment très esthétique aussi bien par sa ligne que par son parcours très varié. Je la conseille bien plus que l'arête Forbes ( c'est l'arête se découpant sur le ciel à gauche du sommet), même si celle-ci est nettement plus facile. Le passage à proximité des séracs notamment (photo ci dessous), donne à cette voie un caractère très haute-montagne.
Cette image de l'arête Kuffner au Mont-Maudit est une de mes préférées. Prise au lever du soleil depuis le couloir Gervasutti de le Tour-Ronde elle traduit bien l'ambiance du moment.
Difficile de ne pas inclure dans cette sélection d'images une photo de la course de tous les superlatifs: l'éperon nord de la pointe Walker, face nord des grandes Jorasses. Plus belle en vrai qu'en rêve ...
Cette image, faite à la sortie de la face nord du dôme de Rochefort nous laisse apercevoir, derrière les arêtes de Rochefort et la dent du Géant quelques-unes des belles voies que j'ai pu parcourir au dessus de la Vallée Blanche: la Tour Ronde et l'arête sud-est (Küffner) du mont Maudit, la partie supérieure de la traversée des trois Mont-Blanc, le Grand Capucin, la pointe Adolphe Rey, le pilier des trois pointes, le pilier Gervasutti au Mont-Blanc du Tacul ...
insectes
Voici une petite série avec un canon 350d: c'est incroyable les bestioles qu'il peut y avoir sur un cerisier pour peu qu'on s'attarde à le regarder de près (les quatre photos ci-dessous ont été faites dans la même matinée)
Des cousins (tipules) se faisant de gros câlins sur la fenêtre de ma cuisine m'ont permis de faire ces images, malgré les imperfections dues aux petites saletés présentes sur la vitre.
Et toujours dans ma cuisine (c'est fou ce qu'il s'y passe !!) :
Bon maintenant, je fais un voyage: je vais dans le jardin:
Ah l'amour, toujours l'amour ....
Après une longue interruption, je reprends en mai 2008 l'exploration des herbes folles du jardin.